L’entreprise de demain sera humaine
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Le bonheur au travail est essentiel, mais sa quête épuise aussi les leaders. Et si c’était une responsabilité partagée, un engagement collectif à cultiver?
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Nous sommes dans l’ère où le bonheur au travail est prioritaire. On lit à ce sujet dans les magazines, les blogues, on va même à des conférences pour s’inspirer sur les meilleures pratiques pour rendre les employés heureux. On a tous cette quête de trouver un mode d’emploi en 5 étapes pour engager nos équipes pleinement. Mais avec une récession qui arrive (peut-être), la pénurie de main d’œuvre qui perdure, les quiet quitters et les autres pressions sur les employeurs, les leaders, ces « faiseurs de bonheur », sont aussi épuisés que leurs troupes. À La tête chercheuse, on en vient à penser que la mission du bonheur au travail, on devrait voir ça comme la responsabilité de tous. Le bonheur est la résultante d’une série d’efforts. Et si ces derniers nécessitaient un engagement partagé ?
Bien sûr, l’employeur a un rôle à jouer dans le bonheur des employés. Il peut s’assurer que les salaires et conditions de travail soient alignés avec le marché, faire en sorte que les défis proposés soient stimulants et diversifiés. Il peut aussi garantir un climat de travail et un environnement physique accueillant, puis respecter un équilibre où les équipes doivent se sentir soutenues dans leur progression, sans pour autant mettre de côté leur besoin d’autonomie. Et cette tendance du job crafting où l’on encourage l’employé a aligner ses envies, ses motivations à son rôle pour le faire évoluer et retrouver le pouvoir d’agir est également un cadre flexible qui permet de personnaliser l’expérience employé de chacun.
D’un autre côté, les meilleures intentions et initiatives perdent toute valeur si l’employé n’y met pas aussi du sien. Il ne faut pas perdre de vue que chaque personne a le pouvoir de :
Il ne faut pas non plus oublier que les employés ont besoin non seulement de la reconnaissance de leur patron, mais aussi de celle de leurs pairs. Ça joue tout aussi bien sur la motivation des individus, et un employé motivé a plus de chance d’être un employé heureux.
Si on part du principe que l’engagement ou la responsabilité du bonheur au travail est partagé et que chacun peut influencer différents éléments, comment concilier le tout ? D’un côté, l’employeur peut instaurer des rencontres individuelles pour prendre le pouls et même utiliser des outils numériques pour sonder les membres de l’équipe. De l’autre, il faut que l’employé participe et sente qu’il peut s’exprimer et que ses propos seront reçus avec bienveillance.
La confiance est un élément primordial concernant autant le gestionnaire que l’employé et qui permet à ce dernier de conserver une certaine autonomie. Tout comme la responsabilité du bonheur, qui ne se passe pas à sens unique.
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